La crise sanitaire laisse le village dans la sidération. Le quotidien est sans dessus dessous, il y a un glissement de terrain. Petit à petit le village s’éveille et la parole se libère, on met des mots sur les choses. Des palabres échangées par dessus les murets, autour du camion du boulanger. Une nouvelle convivialité voit le jour, les repères habituels changent.